Amarbi (2007) | 10 voix de femmes | 7′ | CM
Breverias (2013) | contrebasse | 7′ | CM
Bik bat (2016) | mandoline et guitare | 7′ | CM
Ekain (1985) | soprano et ensemble instrumental (5 musiciens) | 12′
Fulgural (2013) | ensemble instrumental (11 musiciens) | 8′
Gacela del Adios (1998) | soprano et ensemble instrumental (10 musiciens) | 13′
Granital (2012) | ensemble instrumental (9 musiciens) | 9′ | CM
Ibilkerak (2003-2004) | 2 guitares et ensemble instrumental (6 musiciens) | 11’30
Iris (1991) | piano | 13′
Iru bi (2012) | mandoline, guitare et harpe | 10′
Nireak (1997) | harpe | 12′
Omega suite (2015) | mezzo-soprano et ensemble instrumental (5 musiciens) | 12′ | CM
Un Cri répété (2022) | quintette | 6′ | CM
Félix Ibarrondo est né à Oñati-Guipúzcoa (Espagne) le 12 juin 1943 au sein d’une famille de tradition musicale. Il débute ses études musicales avec son père Antonino : solfège et harmonie. Puis tout en faisant des études de philosophie et de théologie, il travaille la composition musicale (avec Juan Cordero Castafio) et le piano ; à ce double titre, il obtient les diplômes des Conservatoires de San Sebastián et de Bilbao.
À Paris, où il réside depuis 1969, il suit l’enseignement de Max Deutsch dans le cadre des « Grands Concerts de la Sorbonne » et de Henri Dutilleux et Maurice Ohana à l’Ecole Normale Supérieure de Musique. Il s’initie à la musique électroacoustique au sein du GRM.
Il obtient, entre autres, le prix Oscar Esplá, le prix Lili Boulanger, le prix de la Harpe d’Argent au CECA (Espagne), le prix Jeune Compositeur de la SACEM, le prix Lili et Nadia Boulanger de l’Académie française.
Sa relation étroite avec les compositeurs Maurice Ohana et Francisco Guerrero a été déterminante musicalement et humainement. Son œuvre abondante et variée, dans laquelle prévalent la musique orchestrale et vocale, est interprétée par les ensembles et interprètes les plus prestigieux.
« Ibarrondo est l’exemple même du compositeur indépendant, étranger à toute chapelle, mais qui s’est peu à peu imposé par son pouvoir de communication avec le public et les interprètes. Passionnément basque, il incarne profondément les qualités de son peuple : ardeur concentrée, véhémence de l’expression pouvant aller jusqu’à la violence, priorité de l’expression vécue sur l’abstraction et les systèmes, générosité et ouverture dans la perspective d’un humanisme sans concessions ni complaisance (…). La rigueur et la solidité de l’écriture, image de marque de tous les disciples de Max Deutsch, sont chez lui au service d’un message expressif dont la générosité enflammée ne recule pas, au besoin, devant les accents les plus âpres ».
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